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Précisions sur le harcèlement en réseau "adulte"

Nota bene :

Il vaut mieux savoir que ces procédés existent pour pouvoir si possible, s'en prémunir mais tout du moins comprendre, sinon en plus des douleurs occasionnées, la perte de repère sévit.

 

Je n'invente rien sauf les détails des exemples en gardant les principes, pour qu'ils restent neutres, j'ai croisé les sources, les témoignages de victimes et de personnes sorties des réseaux sont multiples.


Je cite "Pour préparer la situation, il est parfois nécessaire de faire croire que l’état de folie de la cible était latent voire déjà évident. Ce petit boulot d’annonce de la présumée folie à venir, est confiée à des pions.

Les pions sont des intermédiaires , en général rétribués, soit directement soit indirectement selon leur groupe d’appartenance, et utilisés pour nommer , dire ou insinuer,  la prétendue folie d’une cible et de diverses manières, mais en utilisant l’aura de leur fonction dont ils font déborder les contours.

L’accès à la cible, pour ce type de préparation, a lieu souvent en marge d’un problème survenu ou fabriqué,  et qui fait croire à la cible qu’elle est fautive et aussi dérangée. Il y a , dans la situation artificielle préparée, une forme de dépendance inventée et que les pions sont incités à utiliser pour matraquer les insinuations ou les propos inconvenants et qu’ils veulent déstabilisants qui disent ou insinuent la folie."


"Théâtre de rue" définition  :
Je cite : "Une des particularités du Gang Stalking est la transmission d‟informations privées, voire intimes, aux pions. Il s'agit des informations récoltées via les techniques de surveillance par les instigateurs qui vont les donner aux pions qu'ils envoient interagir avec la cible. Les pions vont ressortir ces informations privées, intimes (qu'ils ne peuvent en aucun cas connaitre spontanément) sous forme de sous-entendus à la cible. Qu'ils le fassent en seule présence de la cible ou en présence d‟autres personnes, seule la cible sait que cette allusion insidieuse en est une."

 

Principes :

  Je cite :
 * "Les procédures du crime pourraient aussi être expliquées, à partir des événements complètement normaux de la vie quotidienne (“plausible deniability”), laissant ainsi entendre que le harcèlement et les “étranges” agressions ne sont que le fruit de l’imagination de la victime."

Le but est de toujours rester dans la possibilité de le nier petites agressions ( "désolée, je n'ai pas fait exprès…"…ou pas désolée du tout d'ailleurs, ça arrive aussi ).

 * Morceler les actes ou paroles de destruction entre plusieurs personnes.

 * Associer un principe vieux comme le monde : calomnies et rumeurs, en réseau ça marche  très bien.

La calomnie est une agression, on entend souvent dire "je me fiche de ce que les autres pensent de moi" mais elle peut toucher lorsqu'elle est insistante et persistante dans le temps aux  relation sociales affectives, et à un certain stade isoler.

Des dossiers peuvent être montés et nuire, empêcher de trouver du travail, par exemple, tout du moins dans un premier temps.


 * Aborder l'air de rien un sujet qui touche, un évènement douloureux par exemple relevé par piratage informatique ou commérage, puis nier l'intention.
(Là aussi, il faut discerner le hasard, la maladresse qui existent aussi c'est l'instance et la répétition systématique de ces mécanismes qui doit interpeler)


 * Utilisation du réflexe de Pavloff :

Je donne une exemple sans imagination, si une personne est poussée une ou deux fois par semaine sur la chaussée (mais il s'agit en général de choses plus variées bien entendu mais évidemment très désagréables, douloureuses et surtout potentiellement dangereuses) par des personnes qui l'ont bousculée sans faire exprès, cela reste possible, mais si cela se produit plusieurs fois par semaine, un climat d'insécurité s'installe elle n'ose plus trop sortir c'est normal.

 -  Si avant chaque événement de cet ordre un signal toujours le même, anodin, même sympathique est apporté, un réflexe de Pavloff s'installe et la personne au bout d'un moment la personne panique lorsque le signal  est donné.

Plusieurs expériences humaines (!) ont été répertoriées... :( eh oui ...:(

 

Pour aller dans le subtil, j'ai lu que certains utilisaient les odeurs comme signal précurseur des problèmes... mieux vaut le savoir car ce n'est pas facile à discerner.


Le but étant souvent par la suite de faire une petite mise en scène en publique, pour que la santé mentale de la personne soit mise en cause.

Parfois elle est aussi placée discètement sur un terrain de fragilité ou de souffrance, un petit coup de micro-ondes bien ciblé (ou autre procédé technique) là dessus, la personne pleure "on ne sait pas pourquoi" et la décrédibilisation est bien entamée.

Des conseils sont répertoriés pour rester toujours rester dans le "plausible deniability".


(A ce sujet, un problème se pose au niveau des vidéos de  personnes subissant ces tourments,  certaines présentent des faits tangibles, ouvertement répréhensibles c'est parfait.
Mais pour d'autres les gestes ne sont pas vraiment des preuves pour l'extérieur, elles ne sont crédibles que pour ceux qui ont compris ces techniques.
Elles peuvent à la fois enfoncer, car les gestes et les paroles qui précèdent les divers problèmes, souffrances et dangers sont CHOISIS dans le but de pouvoir être interprétés comme anodins et déclencher un réflexe de Pavloff par le biais d'une connexion renforcée par de multiples expériences.
Mais elles ont quand même, à première vue un effet dissuasif, car les personnes faisant partie des réseaux n'aiment pas être repérées, surtout placée sur internet, on leur confie moins facilement des "missions" après.
Donc pour ces vidéos, il faut essayer de bien peser le pour et le contre… je dis bien, essayer car les pressions sont énormes)


* Groupe d'individus bienveillants uniquement lorsque une avalanche de problèmes se prépare ou alors lorsque les problèmes sont arrivés.

Là aussi un réflexe légitime de Pavloff s'installe.

De multiples exemples de harcèlement scolaire en parlent, les victimes en viennent à être extrêmement  réticentes lorsque le groupe est "bienveillant" car c'est pratiquement à chaque fois qu'un "coup se prépare" les gens rigolent d'avance.
Ce n'est pas de la parano, mais de l'observation rationnelle doublée d'une connexion renforcée au niveau du cerveau.

…Il ne faut pas cependant exclure la possibilité d'une repentance, ou alors d'une autre source qui peut procurer de la joie au groupe, donc la position est délicate.


 * Connaissance de ce que la personne n'aime pas et le lui offrir "pour lui faire plaisir"…

Là aussi, cela peut être le fruit du hasard, mais là aussi c'est la persistance, la multiplication de ce style d'événements, l'échec de la communication, voire même le renforcement des événements, après une communication directe concernant le sujet qui doivent interpeller.

* Blocage des dossiers, réception plus ou moins systématique de matériel détérioré, les témoignages de cet ordres sont nombreux, là aussi, il faut discerner ce qui est de l'ordre des aléas de la vie et du harcèlement en réseau.

* "Chaud et froid" systématique


Au milieu de tous ces problèmes il y en a bien sûr  qui sont des aléas…mais il faut comprendre que si la personne s'effondre au bout du x ème qui est véritablement un aléa, ce n'est pas une preuve de son instabilité.

Il ne faut surtout pas, en cas d'erreur,  culpabiliser et remettre en cause les autres faits établis, car c'est sur la base de la réalité que l'on peut se positionner au mieux et non sur celle de réalités illusoires même si elles se veulent rassurantes.

Au final, s'appuyer sur des illusions fait plus de mal que de bien.


* La personne qui veut s'en sortir adopte, à juste titre, un rapport tendu avec la réalité : rien de ce qui devrait fonctionner ne fonctionne, ce rapport tendu va être interprété comme névrosé, alors qu'il est de l'ordre de la survie sociale.


* Grille d'interprétation erronée ou incomplète, "théâtre de rue"  à partir de multiples éléments de la vie d'une personne récupérés soit par contact direct + commérage soit par procédé électronique.

Il y a un stade où les précisions personnelles concernant la vie privée  peuvent rester de l'ordre du hasard, mais un autre où il est légitime d'être interpelé.

On peut très facilement savoir qu'il s'agit de commérage ou de piratage si des détails précis, du style de la note qui a été payée au , la composition des repas de la semaine, les éléments abordés au cours des conversations téléphoniques, leurs horaires ou n'importe quel détail pratique sont apportés, mais que l'état d'esprit n'est pas perçu, les intentions détournées etc...

J'ai failli oublier que pour rester dans le "possible deniability", il est de bon goût de changer quelques petits détails secondaires, mais de bien souligner ce qui n'aurait pas pu être connu sans rentrer dans l'intimité de la personne.

Même si les retours insidieux d'information abordent de choses anodines et tout à fait légales, ces pratiques sont très désagréables et peuvent être ressentis comme une forme de viol de l'intimité.

"On ne peut pas le croire… " pourrait-on répondre.

Certes, mais opérer des gens sans anesthésie sans aucune utilité + toutes ce qui se passe et s'est passé dans les divers camps de concentration est difficile à croire, et là "l'avantage" c'est que les gens se mouillent encore moins.



 Exemple matériel pour illustrer le principe du harcèlement en réseau :

Deux manières de  détruire une voiture :

- destruction évidente :  la faire brûler par exemple : un seul coupable qui risque la prison  

- ou alors "l'union fait la force" plusieurs personnes dévissent un boulon par ci par là "personne n'est méchant" car chacun a fait un tout petit peu, et au virage où la pression sur est plus forte (par exemple) les roues lâchent "on se demande pourquoi" le propriétaire de la voiture devait avoir fait "un faux contrôle technique".


En resumé :


Le morcèlement de l'action par le biais de réseaux et petites actions sournoisement réfléchie peuvent 

 * empêcher d'en saisir la direction

 * traçage plus difficile

 * conscience plus facilement endormie pour ceux qui les pratiquent :

"participation minime" à un crime souvent au travers de diverses calomnies, rumeurs, interprétation erronée de paroles ou faits, la personne à décrédibiliser est représentée comme dangereuse, pour aller dans le subtil "dangereuse mais ne s'en rendant pas compte" méprisante… et la haine est alors utilisée pour anéantir la conscience.

 * plus de possibilité de rester dans le "plausible deniability", dès que la personne réagit la responsabilité est donnée à quelqu'un d'autre :

 - soit quelqu'un d'un réseau

 - soit quelqu'un qui ne fait que répéter pour ne pas se sentir exclu du groupe…donc un bon pourcentage de la population humaine, peu de personnes ont le courage d'aller à contre courant, cela peut coûter l'ostracisation ou alors de devenir soi même une cible…