Paroles de chant : Une main qui se tend

 

Une main qui se tend,

Un regard qu'on entend,

Il y en a tant emportés pas le vent !

Parfois les cris fendent,

Un douloureux silence,

Parfois il faut attendre,

Qu'une oreille se tende.

Un sourire, un geste, un moment de fête,

Une attention discrète.

 

Refrain :

 

Au milieu des vagues, un phare luit dans la nuit,

Dans le noir, l'espoir, peut soudain envahir,

Parfois si fragile, pourtant si solide,

Porteur de vie :

Petits gestes qui rendent la saveur,

Le bonheur peut jaillir, au sein du malheur.

 

Oh ! briser le silence !

Dans cette indifférence !

Tant d'être se cotoyent sans jamais se connaître !

Au milieu de la foule, combien de mortels coulent !

...Une porte ouverte, quand la rue est déserte !

Un certain refrain,

Un bon pain à la main,

En temps de froid et de faim !

 

Le style est haché, comme des pointillés, comme un filigrane,

comme la respiration d'une société qui suffoque sous le poids

de la souffrance de certains de ses membres le plus souvent

silencieux ou que l'on fait taire car ils dérangent, peut être

car ils n'ont pas le "look", peut être car la souffrance a trop

marqué leur visage et que le temps et une forme de joie n'ont

pas encore eut leurs effets..peut être aussi car ils n'ont rien et

que ce n'est pas facile de savoir quoi faire...

 

Excellente suite à tous, je vous souhaite le meilleur !