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Dire ou ne pas dire...


Transmettre une info comme celle que j'ai apporté dans mon avant dernier article, est délicat.



On peut se demander s'il vaut mieux avertir qu'il y a du vide pas loin, ou alors se taire pour ne pas déclencher un vertige qui pourrait provoquer une chute…

Le risque étant de déclencher des réactions de panique contre productives.

Il n'empêche qu'une personne qui ne sait absolument pas ce qui lui arrive, court un risque bien plus grand et que l'impunité la plus totale est la porte ouverte à tous les abus.

Donc, pour ce style de sujet, il vaut mieux garder la tête froide, très froide, mais quand même, transmettre l'info...à mon avis.


Je ne souhaite surtout pas pour être crue sur parole, mais j'espère la question sera examinée, par ceux qui en auront le courage.
Personnellement, après avoir été au contact avec ce sujet, j'ai mis de long mois à bien vouloir m'y replonger… par acquis de conscience.. c'est pas facile.

Les très grandes fantaisies mêlées aux infos vérifiables et logiques (à la réflexion) peuvent être aussi décourageantes.

Le but n'étant évidemment pas d'étaler des choses négatives mais de trouver des solutions.

Si vous sentez que ce n'est pas le moment pour vous, un conseil, attendez pour faire ces recherches.


Ma conclusion c'est qu'il faut que, comme dans certains pays, des lois se mettent en place, que les gens puissent savoir que ces choses existent, que des examens et des mesures soient accessibles aux petits budgets et puissent être contre expertisées le nombre de fois qu'il faut.

Je donne un exemple, environnemental là, donc c'est quand même plus simple qu'une agression ciblée mais je prends cet exemple pour dire qu'il ne faut pas forcément dire "amen" à la première mesure.

Des personnes on fait faire des mesures, on leur a dit que tout était normal, elles ont payé 1000 € pour une contre expertise et ont gagné le procès.

https://www.youtube.com/watch?v=hpq_KDBLZPk   à 8 mn 30

C'est très bien, mais s'ils n'avaient pas eu les 1000 € ?

Voici le conseil d'un médecin qui s'occupe entre autre personne subissant ce style d'agression :

Ce qu’il ne faut pas faire :

"Ce que ne devrait sans doute pas faire une cible qui découvre son harcèlement, est d’essayer de convaincre ceux qui pensent que ça n’existe pas .
Le risque étant de se retrouver dans un service de psychiatrie avec un diagnostic de schizophrénie ou de délire .
Les associations de défense des droits de l’humain préconisent donc une communication avec les associations spécialisées pour faire le point et obtenir des conseils.
Comme je l’ai indiqué le point principal de ce type de harcèlement est de vous entrainer à appeler sans cesse la police pour des faits difficiles à prouver .
Cela risque de vous envoyer chez un psychiatre qui n’écoutera pas ce que vous avez à dire ou ce que vous expliquez, il se contentera de faire un diagnostic de problème mental .
Une fois que ce diagnostic de maladie mentale a été établi,  la police ne répondra plus à aucune des plaintes portées."

Mais ce n'est pas pour cela qu'il faut renoncer à trouver des solutions et surtout, comme en tout persévérer même si dans un premier temps tout parait sombre.

Au cas où il s'agisse réellement de ce style de problème, d'autres questions se posent.

Quand à leur résolution, il vaut mieux prendre son temps, et agir intelligemment, pour ne pas se mettre en danger inutilement.

...Ceci dit, lorsque l'on met à la lumière des choses aussi "confortables" pour ceux qui les pratiquent, on est pas obligé de s'attendre à être félicité par tout le monde, vivre en conscience, ce n'est pas toujours facile.