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Extrêmement basses fréquences ou ELF : extremely low frequency

 Nota bene :

Il vaut mieux savoir que ces procédés existent pour pouvoir si possible, s'en prémunir mais tout du moins comprendre, sinon en plus des douleurs occasionnées, la perte de repère sévit.

 


Elles  sont, je le pense encore pire car elles interfèrent les ondes du cerveau et avoir une action encore plus perverse sur le comportement.

Il est possible de tenter décourager quelqu'un dans un domaine en saturant un endroit de micro ondes et elf.

Les ELF sont beaucoup plus difficiles à bloquer, moins directionnelles que les autres, elles peuvent transiter aussi par le CPL dont j'ai pas mal parlé à propos des compteurs…

Il semblerait aussi que cette technologie soit effectivement pire celle des microondes pour cette raison et aussi car plus les ondes sont basses plus elles pénètrent en profondeur dans l'organisme.

Les électro hypersensibles peuvent entourer les compteurs de gaz par du papier d'aluminium lorsqu'ils n'en peuvent plus, pour le CPL ce n'est pas possible.

 

Je cite :

"Dans les années soixante, la recherche sur les armes électroniques s’est scindée en deux domaines distincts. Le premier concerne l’action des armes agissant sur des fréquences de même nature que l’activité électrique du cerveau humain, soit 14 Hertz.


Ces fréquences sont appelées ELF, d’après les lettres initiales de Extraordinarily Low Frequencies (Fréquences extrêmement basses).


On avait le projet d’induire des maladies en bouleversant les circuits électriques dans différentes zones du cerveau, ce qui générait nausées, affaiblissement, peur, panique, et de l’inconscience à court terme, ainsi que de la dépression et d’autres symptômes à plus long terme.


Le but était d’identifier quelle fréquence était appropriée pour n’importe quel type de réaction humaine. A l’issue du projet top-secret ” Sleeping Beauty ” (Beauté endormie) de l’administration Reagan, Le docteur Michaël Persinger – neurologue en chef du laboratoire de physiologie de l’Université de l’Ontario fut mandaté pour trouver les réponses.


Utilisant les champs de variations temporelles de basse fréquence sur les niveaux extrêmement bas allant de 1 à 10 Hertz, Persinger était capable de rendre malade des rats.


Le champ ELF qu’il produisit stimulait la production d’histamine des cellules du cerveau, ce qui induisait une nausée immédiate.

Des recherches approfondies sur les armes ELF furent poursuivies par Dr Elisabeth Rauscher, une physicienne nucléaire dirigeant le laboratoire de recherche technologique de San Leandro en Californie.

Rauscher avait déjà identifié les effets de certaines fréquences spécifiques induisant non seulement de la nausée mais aussi de l’euphorie, par exemple.


Dr Rauscher était enthousiaste : ” Donnez-moi de l’argent et trois mois de délai ” se vanta t-elle, ” et je serais capable de modifier le comportement de 80% des habitants de cette ville sans qu’ils le sachent. Je les rendrais heureux ou tout au moins, ils se croiront heureux, ou bien, je les rendrais agressifs. ”


Plus tard, en 1984, le capitaine Paul Tyler, un médecin de la marine américaine responsable de la recherche sur les effets des radiations sur les humains, exposa ses conclusions devant le centre universitaire aérospatial. Tyler confirma que ” des effets biologiques précis pouvaient être atteints ” à l’aide de champs électromagnétiques."


A première vue, les ELF peuvent être dirigées par des systèmes utilisant soit les micro ondes ou le CPL...et probablement d'autres.