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Conseils (partie 2)

 

Que le débat sur la peine de mort soit relancé, c'est une chose, j'ai donné mes réticences dans un autre article.

Que l'on demande la peine maximum pour lutter contre la passivité, et être sûr qu'une répression ait lieu, ça peut se comprendre.

 


Mais je me permets de vous recommander de ne surtout rien faire de répréhensible contre qui que ce soit, si des choses vous font penser que vous êtres victimes de ces techniques.

 

Vous pouvez, par contre faire preuve d'une prudence systématique, elle offense moins que la prudence ciblée, c'est tout à fait normal.
Cela peut se faire en étant parfaitement détendu et sans que cela coûte trop d'énergie, tout du moins pour une bonne part de ces dispositions.

Ce n'est pas de "l'hyper vigilance" pathologique mais une attitude adaptée à une situation effective ou potentielle :

Lors d'une alerte terroriste, les vigiles ne passent pas tout leur leur temps à "s'excuser de demander pardon" car ils doivent vérifier les sacs.
Ils font leur travail, un point c'est tout.

Il leur suffit juste d'être polis, corrects, et de ne pas abuser de la situation, la culpabilité est déplacée.

S'ils ne le font pas, ils sont en faute, et s'ils ne trouvent rien, tant mieux, ça ne veut pas dire qu'ils ont travaillé pour rien.

La prudence peut être dissuasive.

 


Je me permets de vous recommander aussi, autant que possible, de ne pas vous mettre volontairement en apparence de tort.

Cela pourrait se retourner contre vous.

Mais si les apparences semblent se liguer contre vous, malgré votre attention et même si à un moment ou un autre, vous n'avez pas été attentif(ve) ne dramatisez surtout pas.

 

Dans certaines circonstances, un élément de la loi fondamentale vous permet de refuser une loi secondaire.

Dans ce cas prenez vraiment toutes vos précautions et agissez le plus posément possible en mettant bien en avant vos raisons légales, et les écrivant et en étant prêt à les défendre tranquillement et s'il le faut trouvez un professionnel qui puisse réellement vous défendre.

 


D'autre part, toutes ces techniques jouent avec expertise sur les apparences, vous pourriez vous tromper et faire du mal à quelqu'un d'innocent.

 

Il est très difficile de savoir qui tire vraiment les ficelles.

Exemple :

Je suis d'accord que certains membres de secte mettent une des deux mains sur leur ventre pour se reconnaitre entre eux.

Mais une personne peut mettre la main sur son ventre par hasard, ou car elle a un ulcère, une femme enceinte peut le faire naturellement aussi, ou encore, il peut s'agirune personne qui a pris un faisceau de micro ondes (par exemple) car elle cherche à vous aider.

Les cas de figure sont innombrables.

 

L'utilisation des uns contre les autres est très souvent utilisée, par exemple, en empêchant aux gens de communiquer entre eux directement :

"La personne ne veut pas te parler" or c'est faux.
(Par exemple ou menace de représailles si la personne le fait)


Sans aller jusqu'aux archives de la Stasi (au top des spécialistes de haut niveau) j'ai pu entendre plusieurs histoires répondant à ce principe.

 

Des personnes bien intentionnées (ou non) pourraient aussi vous pousser à la faute par un discours insidieux.

Ou par un mauvais exemple, conscient ou inconscient, si c'est de manière consciente en général, les gens qui le donnent sont protégés et ne risquent rien, contrairement à vous.

La douleur, torture physique (car l'utilisation de ces armes relève bien de la torture.) ou relationnelle (calomnie, détournement des intentions, extrapolations diverses) sentiment d'injustice, peuvent être des terrains propices à l'acceptation de conseils déplacés.

Il faut en avoir conscience même si à la base vous n'avez pas du tout envie de les appliquer.